De retour dans le cabinet du Doc D.
Quand il regarde mon IRM, il me demande comment je fais pour aller au travail avec ça. Même moi je me le demande, mais quand on se persuade que c’est normal…. Lire la suite
De retour dans le cabinet du Doc D.
Quand il regarde mon IRM, il me demande comment je fais pour aller au travail avec ça. Même moi je me le demande, mais quand on se persuade que c’est normal…. Lire la suite
C’est important de le dire, de le répéter, de le marteler : NON ce n’est pas normal d’avoir mal, NON même si c’est « peut-être rien » on ne se tait pas. Sacrebleu !
Me voilà donc partie, ordonnances en poche, pour mes prochains examens. Les premiers « sérieux » en plus, disons plus poussés que le bilan hormonal. On commence les réjouissances avec l’hysterosalpingographie, un examen permettant d’évaluer la perméabilité des trompes qui se déroule comme suit : Lire la suite
Nous voilà donc embarqués dans la PMA. Doucement pour commencer, avec « juste » des médicaments. Psychologiquement c’est déjà un peu plus violent. Tout d’un coup on bascule du projet excitant à :
Et surtout on te dit tout de go qu’il y a un problème. Que ça ne va plus vraiment être naturel. Petit choc tout de même. Lire la suite
Mais comment que quoi pourquoi on en est là ????
Petit récap de ce qui était, initialement, une bonne idée.
En 2014, Le Mec et moi filons le parfait amour. Situations stables, petit appart’ sympa, ne serait-ce pas le moment pour nous d’ajouter un petit bonheur supplémentaire à tout ça ?
En juin 2014 donc, j’arrête la pilule. Ma mère a eu des difficultés pour être enceinte de moi et elle a souffert d’endométriose. Je ne savais pas grand chose de la maladie à ce moment là *soupir-remember* mais je voulais commencer à songer tôt à la grossesse « au cas où » (la finaude).
Je me souviens de cette période de joie et d’allégresse, quand tous (et finalement rien) était un signe d’une hypothétique grossesse. Ça marche bien du 1er coup dans les films, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas pour moi.
Sauf que de Juin à Décembre, j’ai genre 3 fois mes règles et des cycles de 70 jours quand cycle il y a.
Décembre 2014 : 1er rdv chez un gynéco pour un bilan sanguin : verdict : déficience hormonale. Je n’ovule pas ou peu ou mal. Chouettas. Il décide de booster le bousin et de me mettre sous Clomid et Duphaston (les vrais savent) pour optimiser et régler mes cycles. De mon côté je décide de prendre un second avis auprès d’un spécialiste de l’infertilité, j’ai pas le time moi. Je vais donc chez le Docteur D. recommandé par le père neurochirurgien d’une collègue de ma belle-sœur (du cousin de la boulangère).
Février 2015 : 1er rdv chez Doc D. chez qui tu ferais bien refaire même ton appart pour rentabiliser ses honoraires. Au vu de mes précédents examens il décide d’augmenter la dose de Clomid et rdv dans 6 mois. En parallèle Le Mec doit passer un spermogramme, TMS et fragmentation de l’ADN pour être sur que tout va bien de son côté.
Les résultats sont bon, ok c’est un stress en moins.
Moi j’enquille pour 6 mois.
Spoiler alert : il ne se passe rien pendant 6 mois. Ah si, j’ai mal. De plus en plus mal. Mais je ne dis rien.